Un îlotage dissuasif sur les zones et arrêts sensibles

Nous agissons pour la politique d’Île-de-France Mobilités de sécurisation des réseaux de bus de première et deuxième couronnes. Transdev se positionne comme soutien majeur sur les réseaux et les territoires les plus sensibles.

Un dispositif de surveillance générale a été mis en place début 2018, mobilisant des agents de sûreté habilités aux interventions directes en cas d’incivilités. Nous adoptons des mesures concrètes qui participent activement à la sécurisation des transports : îlotage « rassurant et dissuasif » et accompagnement du contrôle et de la « mise en sécurité » des voyageurs et des conducteurs.

Les agents de sûreté garantissent par leur présence quotidienne la sécurité des personnels, des voyageurs et des biens, et réduisent le sentiment d’insécurité notamment sur les dernières courses de nuit. Grâce à leur rapidité d’intervention, ils peuvent secourir et aider toute personne en difficulté.
Ce dispositif jusqu’à lors méconnu de notre clientèle se révèle être particulièrement apprécié et fait l’objet d’une perception positive sur les réseaux où il agit.


Depuis sa mise en place en janvier 2018, les agents de sûreté ont assuré en 6 mois 203 interventions sur 4 de nos réseaux et nous enregistrons une baisse de près de 42 % des incidents sur le 1er semestre 2018.

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Les arrêts de bus, la demande la nuit, une réassurance sur les réseaux Transdev seine saint denis et Transdev Melun

 

 

À partir de 22h, ce dispositif permet de faire descendre les voyageurs qui en font la demande hors arrêt, dans les conditions optimales de sécurité et de respect du code de la route.

 

La mesure, qui s’inscrit dans le plan de renforcement de la sécurité dans les transports d’Île-de-France Mobilités, est une réponse au sentiment d’insécurité dans les trans- ports, notamment chez les femmes. 

Selon une étude de l’Institut d’aménagement et d’urbanisme publiée en 2016, celles-ci sont 25 % à ne pas prendre le bus parce qu’elles ne s’y sentent pas en sécurité. En 3 mois, plus d’une centaine de demandes ont été formulées auprès des conducteurs des 4 lignes du réseau de Seine -Saint Denis concernées depuis l’ouverture de ce service, le 6 mars.